Clara Misirliyan, M.Sc.

J’étais étudiante à la maîtrise professionnelle en orthophonie et je m’intéresse tant à la pratique orthophonique qu’à la recherche en neurolinguistique.

J’ai découvert mon intérêt pour la linguistique durant mes études collégiales. J’ai suivi cet intérêt en commençant un baccalauréat en sciences cognitives à l’Université McGill, où j’ai mené un projet de recherche en sociolinguistique durant ma première année d’étude.

Depuis 2016, j’ai été impliquée dans divers projets des laboratoires de Karsten Steinhauer (Neurocognition of Language Lab, School of Communication and Speech Disorders, McGill University) et de Phaedra Royle. Mon rôle dans le projet doctoral de Lauren Fromont était d’abord le recrutement et l’évaluation des participants, puis j’ai participé au repiquage des enregistrements audio de son expérience. J’ai aussi contribué au recrutement et à l’évaluation des participants pour les expériences d’Alexandre Herbay et d’Anastasia Glushko, candidats au doctorat à McGill. Durant l’été 2019, j’ai effectué un stage de recherche PREMIER (PRogramme d’ Excellence en Médecine pour l’Initiation en Recherche). Mon projet consistait à explorer des techniques de nettoyage des artefacts de clignements oculaires dans les données EEG des enfants ayant un trouble du langage (Misirliyan et al, 2020).

Dans le cadre de ma maîtrise professionnelle en orthophonie (M.P.O.), j’ai fait un travail dirigé sous la direction de Phaedra Royle et Karsten Steinhauer (Étude des potentiels évoqués par des erreurs syntaxiques dans le syntagme nominal – Données d’adultes francophones). Mon projet portait sur une expérience de potentiels évoqués sur le traitement des adjectifs pré- et post-nominaux (affiche ici). J’ai analysé des données récoltées dans le cadre du projet doctoral d’Émilie Courteau.